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Aujourd’hui: « Pulp fiction » de Quentin Tarantino (Etats-unis, 1994)
Marsallus Wallace (Ving Rhames) : » Maintenant quoi? Je m’en vais te le dire, moi quoi! J’appelle deux experts complètement défoncés au crack avec une paire de pinces, un chalumeau et un fer à souder. Est-ce que tu m’as entendu espèce de porc? Je suis très lin d’en avoir fini avec toi, je vais te la jouer à la flamme bien moyenâgeuse! »

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Célébrons aujourd’hui, Saint Landry, évêque de Paris!

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Aujourd’hui: « Apportez moi la tête d’Alfredo Garcia » de Sam Peckinpah (Bring me the head of Alfredo Garcia, Etats unis, 1974)
Sappensly (Robert Webber): Oui, Alfredo Garcia.
Quill (Gig Young): Il parle l’anglais, l’espagnol. Et la langue fourrée.

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Aujourd’hui: Jean Michel Antoine.
On se souvient de lui pour sa prestation dans « Il était une fois la révolution » de Sergio Leone. Il y incarnait le colonel Gunter Resa, officier à la solde de la tyrannie mexicaine commis à la traque et, éventuellement, l’extermination des rebelles. Il tint plus tard un rôle similaire dans « Le lion et le vent » de John Milius ou cette fois il était un militaire prussien ennemi d’un chef de tribu arabe joué par Sean Connery. Il fut aussi un soldat SS occis par Philippe Noiret dans « Le vieux fusil ». Sa mince silhouette hanta également « Mon nom est personne » de Tonino Valerii (Une production Leone, comme par hasard) le giallo « L’asesino è costreto a uccidere ancora » de Luigi Cozzi, ou l’assassin du titre, cétait lui. Mais pas que. Il tâta de la télévision le temps d’un épisode des « Brigades du Tigre » et dans le feuilleton « Douze légionnaires »
Il apparut chez Boisset dans « Folle à tuer » ou jouait une figure mythique du cinéma italien, Tomas Milian. Il croisa Michel Sardou et Roland Giraud dans le polar nanaresque « Cross » de Philippe Setbon. Sa dernière apparition. Triste fin pour un acteur qui fut une des gueules les plus marquantes des années 70 et était par ailleurs polyglotte. Jean Michel Antoine parlait en effet l’anglais et l’allemand.








