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Adieu à Takeshi Terauchi, légende nippone la guitare Surf Rock.

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Aujourd’hui: Rock’n’Roll fantasia.
Qu’en est-il de l’imagerie du Moyen-Orient et du Rock’n’Roll? Aussi étonnant qu’il paraisse, il existe un rapport entre les deux. En fait, ce n’est pas si surprenant en regard du succès planétaire de la chose (Sauf en France, mais c’est un autre sujet) Entre le King dans « C’est la fête au harem » déguisé en émule de Rudolph Valentino tendance « Le fils du Sheik » , Jerry Reed annonçant l’avènement du Rock à Bagdad alors que dans ladite capitale de l’Irak le parti Baas prenait la pouvoir par la force (Authentique!) Les Coasters jetant l’ancre en Egypte – enfin, la petite Egypte que Elvis visitera à son tour dans son film « L’homme à tout faire » Sans oublier notre Hector national se glissant le temps d’une chanson dans la peau de « Abab l’arabe »
Allez, en voiture Simone!





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Ceux qui suivent l’actualité cinématographique le savent sans doute, Rachel Ziegler a décidé de se produire sur les planches londoniennes afin selon ses termes de prendre du recul. Rachel Ziegler? Mais oui, la dernière interprète en date de Blanche-neige qui n’a jamais raté une occasion de dénigrer le conte susmentionné ainsi que le dessin animé produit par le même studio qui l’avait engagée. Mais avait-elle tort? Bien sûr que non! Quoi de plus pertinent et de bon goût que cracher dans la soupe et considérer comme louche (« Weird, weird, weird! » dans le texte) le désir de se marier et d’avoir des enfants – nombreux ou pas- en appuyant son propos avec force grimaces? Qui pouvait y trouver à redire, sinon les mauvais plaisants masculinistes, machistes, virilistes, sexistes homo-trans-lesbophobes? C’est vrai, quoi.
Ah quelle ne fut pas le déferlement d’ordures venant de ces hordes de mâles toxiques affolés à l’idée de perdre leur privilège! Devant une telle abjection, même l’intrépide Rachel ne pouvait tenir. Il lui fallait donc prendre du recul. Un repos bien mérité, pas vrai? Prendre du recul, quelle belle expression pour dire qu’on va se faire oublier parce qu’on a fait l’idiot, l’idiote en l’occurrence- et qu’on est incapable de comprendre qu’on ne saccage pas les rêves d’enfants impunément.
Une telle décadence donne envie de regretter « Elle voit des nains partout » comédie parodique de Jean Claude Sussfeld ou le porno d’animation germano-américain « Les contes de Grimy » sortis à quelques mois d’intervalle lors de la période 1982/83. Des farces grasses et médiocres, certes, mais qui au moins étaient inoffensives.
On n’oubliera pas non plus le porno « Blanche fesse et les sept mains »…



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Renaud en Tarzan dans le film « Elle voit des nains partout » de Jean Claude Sussfeld (1982) Pourquoi pas? Mais Pourquoi?

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Célébrons le saint ou plutôt les saints du jour, Pierre et Paul!





