Auourd’hui: « Les diaboliques » de Henri-Georges Clouzot (France, 1955)

- La femme vertueuse se plait à contempler l’aurore.
- Vous êtes resté trop longtemps chez les jésuites, M. Drain.
- Tout le monde ne peut pas se faire renvoyer de l’enseignement.
Auourd’hui: « Les diaboliques » de Henri-Georges Clouzot (France, 1955)

Aujourd’hui: Rock’n’Horror (Suite)
Du cercueil de Screamin’ Jay Hawkins aux hommages des Cramps, en passant par le maquillage du disciple anglais de Hawkins Screaming Lord Sutch et les « Teen monsters » quelques exemples des hybrides entre fantastique et Rock’n’Roll!

« I was a teenage werewolf » une des premières apparitions à l’écran de Michael Landon. Eh oui, sous le masque velu, il y avait le futur Charles Ingalls de « La petite maison dans la prairie »!






Compilations Buffalo bop centrée sur le thème de l’horreur. A noter la première image tirée de « Rendez-vous avec la peur » de Jacques Tourneur.




Adieu Connie Francis.

Aujourd’hui: Rock’n’Horror!
Le Rock et le cinéma d’horreur, les riffs et les monstres, deux mondes à priori bien éloignés et qui se sont croisés plus d’une fois. Le Heavy metal illustra bien des bandes son de films d’horreur des années 80, les Goblins trio italien issu du rock progressif réalisa la musique de plusieurs oeuvres de Dario Argento. Et la liste serait bien longue s’il fallait l’établir. Mais ces noces apparemment improbables n’étaient déjà pas nouvelles. Dès le Rock des origines, le cinéma s’intéressa à cette musique ou tout au moins à son imagerie. Les films dit fantastiques ou d’horreur ne ratèrent pas non plus ce train, offrant une nouvelle jeunesse aux mythes du genre. Ainsi pullulèrent sur les écrans des Frankenstein, des loups garous et autres créatures à peine sortie de l’adolescence. Et parfois, les bandes originales suivaient.
Le mouvement inverse se produisit, des musiciens consacrant une chanson, un morceau baignant dans le monde de l’épouvante. Certains s’en servirent même pour créer leur image tel Screaming Jay Hawkins, resté célèbre pour ses capes et sa canne à tête de mort. A côté de cet exemple qui demeure relativement exceptionnel, il est des musiciens qui, s’en se déguiser forcément, flirtèrent plus que fréquemment avec les thèmes de l’horreur – ou assimilés. Ce fut le cas de Link Wray qui intitula un de ses morceaux « Jack the ripper », rendit hommage ausombre justicier des comics des années 30 le Shadow, et, comme pour boucler la boucle, joua le thème emblématique de l’héritier du Shadow « Batman »
Sur ce, ballade en image au pays de l’imaginaire et du riff saignant!





Célébrons aujourd’hui Sainte Claire D’Assise!
Aujourd’hui: Edition spéciale truands qui déraillent, troisième partie. « Scarface » de Brian de Palma (Etats-unis, 1983) « Je suis…comment vous dites?…. Paranoiaque… » L’histoire de Tony Montana, immigré passé des prisons cubaines à l’épluchage d’oignons avant de se retrouver sur le trône de la cocaine dont il ne tardera pas à chuter. Que n’a-t-on écrit et dit sur…