Tout l’univers- Style

Aujourd’hui: Les blondes encore et toujours.

Bon, je sais ce que vus allez penser. « Ce type est obsédé par la blondeur! » Sans doute n’auriez vous pas tort. Mais c’est pour la bonne cause. Certains parmi vous savent, du moins ceux qui suivent l’actualité, que l’opinion publique est secouée par une publicité pour bloudjinzes portée par une accorte demoiselle (Je le suppose) blonde aux yeux bleus et au balconnet avantageux du nom de Sidney Sweeney. L’aspect on ne peut plus nordique de ce modèle et le jeu de mots du slogan (Genes, les gènes et jeans le pantalon étant proches en phonétique anglaise) sans compter les initiales de l’impétrante suscitent depuis quelques jours de nombreux commentaires. Des esprits chagrins voient en effet dans cette réclame des relents de bras tendus et de pas de l’oie. Pour redevenir sérieux, cette réaction est ridicule. Et inquiétante. Nous détestons-nous au point de ressortir le péché originel de l’occident: le racisme? Il faut le croire. S’aimer, à tout le moins se respecter, n’implique pas la haine de l’autre. Et puisqu’il est question de haine, il serait bon de se poser la question de savoir de QUEL côté elle se trouve.

Aussi, baste de l’autoflagellation et place à la célébration. Celle des beautés d’autrefois sans pour autant négliger celles d’aujourd’hui.

Commençons donc ce nouveau tour d’horizon de la blondeur glamour rétro et cependant éternelle!!

Eva Lynd

Née en Suède et comtesse qui plus est, Eva Lynd dut à ces deux raisons d’être pourvue d’un nom à rallonge. D’ailleurs je ne m’en souviens pas. Mais peu importe, Eva Lynd après avoir raccourci son nom s’en alla aux zouèssè. au milieu des années 50. Là-bas, Elle posa pour divers magazines coquins avant de faire l’actrice mais pas trop.Elle était en effet handicapée par son accent qu’aucun couteau ne put couper. Tout le monde n’est pas Ingrid Bergman. Retenons toutefois deux films dans son intermittente carrière sur le grand écran ‘The hypnotic eye » et « That lady from Peking » Elle versa également dans la chanson et l’effeuillage mais ce ne fut pas là non plus son titre de gloire. Elle décrocha ce dernier en tant que modèle de dessinateur de magazine pour hommes. Son visage ainsi apparut plus d’une fois reproduit par le crayon de nombreux artistes sur les couvertures des « Men’s magazines » u se mêlaient exotisme, érotisme et cruauté. Tantôt victime, tantôt femme d’action, Eva peupla les fantasmes des adolescents, des soldats et des voyageurs de commerces. Qu’elle en soit remerciée!