Aujourd’hui: Le chic redneck.
Et c’est parti pour un tour chez les divas des trailer parks, les cow boys et cow girls endimanchés, les dandys péquenots arborant des tenues flamboyantes comme pour faire oublier l’image des sudistes dépeinte par Erskine Caldwell. Eh oui, le redneck, le hillbilly, le type des collines à famille nombreuse, à la dent rare et aux pieds nus, bouffeur de navets, consanguin, brutal, paresseux et (éventuellement) raciste.
De Tammy Wynette à Dolly Parton en passant par le mariage du King en personne avec Priscilla Beaulieu -avec en prime Divine et quelques films sentant la sueur du Sud- voici un bref tour d’horizon du « Redneck chic »





Admirez les pointes dorées sur le col de Tab Hunter enlaçant Divine dans « Polyester » de John Waters (Etats-unis, 1981)

Divine en travesti Country!

Divine et Paul Bartel, réalisateur de « Luxure dans la souillure » (Lust ni the the dust, Etats-unis, 1985)

Peter Carpenter en chanteur de boite de nuit dans « Point of terror » de Alex Nicol (Etats-unis, 1971)

Michael Christian le « Poor pretty Eddie » de Richard Robinson aspirant chanteur malheureux et tourmenteur d’une chanteuse égarée dans un bled du sud des Etats-unis (Etats-unis, 1975)

