Alexandre Léger auteur rétro

Réflexions

Les catholiques le savent, le reste du monde aussi d’ailleurs, c’est aujourd’hui le premier jour du conclave subséquent au décès du pape François. Il ne s’agit pas dans cet article de se livrer à un concours de pronostics, ce n’est pas le sujet. Ce billet n’exprime que quelques réflexions concernant un événement d’importance récent et de ce qu’il recouvre. Il est intéressant de constater que le pontificat qui vient de s’achever provoqua de part et d’autre de vives réactions. Dans le camp traditionaliste, le pape François était considéré comme un trublion car trop tolérant envers les pécheurs et trop complaisant quant aux problèmes migratoires. Dans le camp progressiste, c’était moins net ainsi que dans celui des athées plus ou moins bouffeurs de curés, il était pour les uns réactionnaire qui voyait des tueurs à gages dans les pratiquants de l’IVG. D’autres dans le camp du bien le trouvaient « Cool »- pardon frais (Mais pas dans le sens ou l’entendent les djeuns) il ne voyait pas d’inconvénient à ce que les prêtres se la jouent David et Jonathan (« Est-ce que tu viens pour la Sainte Barbe? », les plus âgés de mes lecteurs comprendront!) et embrassait presque le derrière- pardon le culte musulman, mais pas tout à fait comme Clovis embrassa celui de Clotilde quelques siècles plus tôt (Celle-là, seuls les très très vieux peuvent la comprendre, et je ne vous l’expliquerai pas, ah mais!)

Le fait est qu’il est bien difficile de savoir ou habitait le défunt Saint Père. Quoiqu’il en soit, et ce en attendant le choix de son successeur, rassurons nous. Il y eut au cours de l’Histoire des papes qui furent de bien curieux cocos. Tel mon presque homonyme Alexandre VI, César Borgia, dont le portrait orne ce billet.


Laisser un commentaire